Fake news
*un fake, c’est quoi ?
*quelques réponses:
*Fake ça veut dire faux en anglais, dans le sens « qui se cache » d’une chose
C’est une expression qui est souvent utiliser pour dénommer les « canulars » que font des uploaders en uploadant des soit-disant films hollywoodiens ou autres films grand public mais qui ne sont en fait que d’abominables pornos
*Un faux document, un faux logiciel, une fausse information, une vidéo truquée, etc
* Une fausse news c’est un hoax - Hoax, qui veut dire Canular
*Fake = Faux (qui n’est pas ce qu’il devrait être)
Hoax = Canular (Info qui se révèle être fausse
*On dit souvent que c’est un fichier corrompu ou truqué !
*Donc un Fake, c’ets tout simplement un faux! Comme on parle d’un faux en peinture quand on est face à une copie! Ou alors un faux document
*Un fake est une fausse info ou un faux fichier modifié pour faire croire qu’il est vrai mais très souvent on retrouve des news qui sont relayés et qui sont des fakes pareils pour les fichiers
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Qu’est-ce qu’une fake news ?
Des informations mensongères, trompeuses voire même malhonnêtes… Peut-on vraiment définir les fake news de cette manière ?
***Depuis que le Président des États-Unis Donald Trump a employé l’expression « fake news » dans ses discours, la question de la malhonnêteté des médias semble susciter un vif engouement. Des informations mensongères divulguées par certains grands journaux et chaînes de télévision tels que le New York Times, le Washington Post, CBS ou encore NBC News et élaborées sur mesure pour tromper lectorat et audience…
Où est la vérité dans tout cela ? Les journalistes français ont-il eux aussi recours à ce genre de pratiques ? On vous dit tout.
**Une fake news, qu’est-ce que c’est ?
Traduite au mot-à-mot par « fausses informations », l’expression fake news a progressivement perdu son sens originel. En effet, en anglais, « fake » se rapporte à toutes les choses qui sont falsifiées, contrairement à « false » qui est la traduction littérale de ce qui est faux. Aussi, il faut comprendre que les fake news sont des informations déployées dans un ton journalistique afin de tromper la vigilance des lecteurs.
On notera que les fake news ne représentent rien de nouveau. À l’origine, les fausses informations circulaient majoritairement par e-mail et sur certains blogs d’opinion. Mais depuis l’explosion des réseaux sociaux, on assiste à une recrudescence des informations mensongères. Il faut dire que de nos jours, partout dans le monde, les fake news sont reprises dans un ton très libéré sur la scène politique.
**Qui est-ce qui divulgue les fake news ?
Les faussaires d’information répondent principalement à une logique idéologique. Ce sont donc des sites web s’appuyant sur une audience partageant les mêmes opinions qui divulguent les fake news, l’objectif étant de créer des émeutes médiatiques.
De tels sites misent sur la carte de la « désinformation » pour faire croître leur trafic et ainsi toucher de juteux revenus publicitaires. Reste à savoir s’ils sont vraiment capables de peser face aux gros journaux.
**Les médias s’unissent pour faire parade
Afin de lutter contre ce phénomène susceptible de fragiliser l’équilibre public, les rédactions de France et d’ailleurs ont pris les devants. Effectivement, elles se sont associées à des projets tels que CrossCheck, lequel a été mis en place par Google News Lab mais aussi First Draft.
De ce fait, une classification des fake news a vu le jour afin de détecter toute manipulation journalistique. À noter que Facebook supporte également cette action et a mis en place un système de signalement des fausses informations.
Reste que nier une fake news, c’est aussi lui donner de l’importance ou une visibilité qu’elle n’aurait pas méritée au préalable.* source: hintigo.fr / 14-03-2017
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*vidéo: Les Fake News – Quelle Histoire Cyrus !
**Un phénomène en croissance sur le web
Très utilisé par les journaux et les médias depuis les dernières élections, le phénomène de « Fake news » ou de fausses informations est en pleine expansion. Les dernières élections présidentielles américaines et françaises ont confirmé la tendance avec de nombreux exemples. Aussi, il se doit de sensibiliser les internautes à plus de vigilance sur le web.
En effet, les fausses informations publiées ont pour objectif de tromper le lecteur, de le manipuler pour orienter son jugement.
Loin d’apparaître anodines, ces publications peuvent avoir une incidence importante du fait de la démultiplication et de la diffusion massive qu’offre internet.
***Douter et se questionner avant de croire une information
Adopter une attitude critique sur internet devient une posture nécessaire pour ne pas se laisser piéger par ces tentatives de désinformation ou d’intox produites par des individus peu scrupuleux.
Pour cela, il est indispensable de se poser quelques questions comme celles décrites dans la fiche issue du site HabiloMédias :
- Quels types de faux contenu devrais-je surveiller ?
- Pourquoi l’information est-elle propagée ?
- Qui propage l’information ? La source a-t-elle la réputation d’être fiable ?
- Quand l’information a-t-elle commencé à se propager ?
- Où puis-je vérifier si l’information est vraie ?
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- ***Des outils pour vérifier une information
Devant cette situation, de nombreux acteurs du monde journalistique ont tenté d’apporter une aide aux lecteurs pour leur permettre de vérifier seul des informations qu’ils reçoivent sur internet.
Plusieurs moyens sont ainsi disponibles :
Le site Décodex du journal « Le Monde » apporte des aides pratiques à l’analyse des médias :
- Comment remonter à la source d’une information ?
- Comment vérifier la véracité d’une image ou d’une vidéo ?
- Comment décortiquer un sondage ?
- Comment reconnaître une théorie complotiste ?
Retrouvez l’interview réalisée par France culture, d’Adrien Sénécat, journaliste au sein du service des Décodeurs.
**vidéos :
« Il vaut mieux se méfier et vérifier avant de partager une information »
**Dix conseils pour débusquer les fausses informations sur internet
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Qu’est-ce que le hashtag
Le hashtag appelé mot-clic ou mot dièse en français permet de transformer en lien cliquable un sujet de discussion. En d’autres mots, le hashtag permet de catégoriser des sujets en un seul clic. Rien de mieux qu’un exemple concret: Vous visitez le zoo de Granby et écrivez à vos contacts sur Twitter :
« Nous avons adoré notre visite au #zoodeGranby ».
Ce mot, précédé du dièse, est catégorisé sur Twitter et devient un lien cliquable. D’un seul clic, vos contacts et vous pourrez retrouver des articles ou personnes ayant déjà discuté du zoo de Granby.
**Le Live Tweet
Autre exemple: vous assistez à un événement, une conférence ou un congrès et vous commentez l’événement sur Twitter en utilisant le hashtag de l’événement. Les gens qui y assistent échangent sur le sujet pendant que se déroule l’événement et les absents, grâce à votre lien hashtag, peuvent connaître le nom des gagnants et voir des photos en direct. Cette utilisation en temps réel porte un nom: le Live Tweet. Le Live Tweet est aussi dans les émissions de télévision. Prenons comme exemple l’émission « Tout le monde en parle ». Régulièrement, vous voyez apparaître à l’écran un hashtag afin que vous puissiez commenter les propos de l’invité ou un thème abordé dans l’émission. Un groupe est alors formé autour de ce sujet. Vous pouvez même discuter directement avec l’animateur et ce dernier vous répondra.
**L’utilité du Hashtag?
- Échanger sur un thème particulier;
- Faire la veille d’un sujet;
- Dialoguer en direct sur un sujet relié à une émission de télévision ou avec les invités.
- Mettre en avant-plan un sujet, que ce soit dans un message écrit ou pour une photo.
- *****Dans quels médias sociaux peut-on utiliser le hashtag ?
- Google+
Leur raison d’être est un peu différente, mais ça, c’est un autre sujet Tout comme moi, vous n’aurez plus l’air d’habiter sur une autre planète quand quelqu’un va parler de hashtag, c’est maintenant à vous d’en créer! Pour ceux qui sont, comme moi, plus visuels, voici une vidéo réalisée par télé-loisirs.fr qui résume à merveille ce qu’est le hashtag : mais au fait, c’est quoi un hashtag?
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Cet article s’adresse à tous ceux qui ont envie de mieux comprendre les rudiments des médias sociaux. Comme dans beaucoup de disciplines, revenir aux bases fait du bien. Aujourd’hui, objectif démystification du hashtag : l’équipe social media d’acti vous explique ce que c’est, à quoi ça sert, et comment bien l’utiliser.
**Le hashtag est un lien
Le hashtag permet de créer un lien interactif pour lier un mot à une conversation. Pour bien comprendre son utilité, il faut comprendre d’où il vient : Twitter.
Twitter est un réseau social où la recherche d’information est une fonctionnalité clé. Le problème, c’est que chaque information, chaque tweet ne doit pas dépasser 140 caractères. Alors comment créer des conversations autour de sujets spécifiques sans devoir répéter toujours les mêmes mots ?
Twitter a pour cela inventé une règle voulant que :
– Chaque fois qu’un mot est précédé de # comme #A320 (hashtag utilisé par les utilisateurs pour l’affaire du crash d’avion)
– Un lien est créé collectant tous les tweets contenant le mot précédé du #
– Ce lien est directement cliquable sur le tweet (comme ci-bas par exemple, #A320 est automatiquement devenu un lien cliquable)
Cela permet donc à un tweet de participer à une conversation donnée, puisque les individus cherchant à s’informer sur un sujet, plutôt que de chercher un ou des mots-clés autour d’un sujet, pourront voir l’ensemble des tweets liés à un sujet directement via le hashtag.
**Un facteur de découverte
En utilisant des hashtags, vous avez donc la chance d’être découvert par des gens qui ne vous suivent pas nécessairement, mais qui ont utilisé un hashtag spécifique. L’intérêt pour les organisations et entreprises réside donc dans l’utilisation de hashtag permettant la découverte de l’entreprise ou du tweet par les internautes.
Le newsjacking qui consiste à rebondir sur un sujet d’actualité pour rendre sa marque plus visible se base sur cette stratégie.
Pour que cette stratégie s’avère fructueuse, il faut utiliser un hashtag qui n’est pas trop ou trop peu utilisé : les hashtags commun comme #voiture #news ou #politique sont tellement utilisés que les utilisateurs ne vous repèreront probablement pas dans la masse de messages envoyés. Cela vaut autant pour Instagram que pour Twitter.
Un outil à utiliser pour trouver le juste milieu : RiteTag.
**Le hashtag comme liaison subjective
Ce qui pourra aussi vous confondre avec les hashtags, c’est leur utilisation comme liaison ironique ou commentaire. C’est un usage inattendu du hashtag : se servir de son placement habituel en fin de phrase ou tweet pour lui donner une valeur subjective.
**Le conseil de Laura, Community Manager
Lorsque vous créez un hashtag pour promouvoir, par exemple, un évènement ou une campagne marketing, privilégiez des hashtags courts et descriptifs. En effet, la longueur ou la complexité du hashtag peut être un frein à son utilisation. Si vous souhaitez optimiser la viralité de votre hashtag, optez pour un « mot-dièse » qui ne prenne pas trop de place et qui soit facile à écrire (notamment sur mobile !)
Un autre conseil : si vous « lancez » un hashtag à vocation internationale, faites attention à la langue utilisée : optez pour un hashtag neutre et compréhensible dans les principales langues.*acti.fr/ Par Alexandre, le 28 mars 2015 dans Réseaux Sociaux
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Egypte :
une loi sur les médias sociaux et les “fake news” fustigée par les opposants de Sissi
18 juillet 2018
Ses partisans louent ses effets salutaires pour la préservation de la liberté d’expression, contrairement à ses détracteurs qui fustigent sa visée oppressive des plus sournoises, la loi sur les médias sociaux adoptée lundi par le parlement égyptien est applaudie des deux mains ou conspuée, selon que l’on soit du côté des pro ou des anti-Sissi.
Laissant les coudées franches aux pouvoirs publics pour bloquer les réseaux sociaux et les poursuivre en justice, y compris les géants Facebook ou Twitter, empêcher que les « fake news » s’y répandent et sanctionner les journalistes tenus responsables de leur création et propagation, l’esprit et la lettre de loi, marquée du sceau du despote Abdel Fattah al-Sissi, ne trouvent un écho favorable qu’au sein de ses fervents sympathisants.
Supervisée par la Haute Autorité chargée de l’administration des médias dont le responsable a été nommé par l’homme fort du pays, la loi contre les informations fallacieuses masque mal ses intentions douteuses pour ses farouches opposants. A leurs yeux, elle est le fait du prince et poursuit un double objectif pernicieux : étendre le pouvoir étatique sur les médias sociaux, tout en donnant un cadre légal à une répression de la dissidence qui ne dit pas son nom.
Sherif Mansour, coordonnateur du programme pour la protection des journalistes au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, n’a pas de mots assez forts pour dénoncer le libellé de la loi dont il est convaincu qu’il donnera lieu à des interprétations forcément partiales et à des dérives tyranniques, éminemment liberticides : « ce pouvoir d’interprétation est un puissant et redoutable outil juridique et exécutif, qui n’est utilisé que pour justifier des mesures excessives, agressives et exceptionnelles, et s’attaquer aux journalistes », a-t-il condamné vigoureusement auprès de l’agence Reuters.
Au cours de ces derniers mois, des centaines de sites d’information et de blogs ont été bloqués par les autorités égyptiennes, tandis qu’une douzaine de personnes étaient interpellées, parmi lesquelles figuraient des journalistes et autres bêtes noires du gouvernement. Tous étant accusés d’avoir généré et colporté des « fake news », selon la définition pour le moins sujette à caution, pour ne pas dire fallacieuse, qu’en donne l’Egypteplacée sous la férule d’Al-Sissi.*oumma.com/ 18 juillet 2018
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