Echos des médias-2
**L’ancien journaliste Abdelqayoum Boukaabache est décédé mercredi 28 mai 2014 à Alger
L’ancien journaliste Abdelqayoum Boukaabache est décédé mercredi à Alger à l’age de 79 ans des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès de ses proches.Le défunt a occupé au cours de sa carrière les postes de directeur de la Radio nationale et directeur général du journal Ennasr. Il compte parmi les premiers présentateurs du journal télévisé de 20 heures juste après l’indépendance. Abdelkayyoum Boukabèche, avant de diriger la Radio nationale en 1987, avait déjà un riche parcours professionnel, tant il était déjà une vedette de la Télévision nationale puisque des années durant, il a été le présentateur de son JT de 20 heures, le plus populaire dans les années 70, période durant laquelle le pays ne disposait que d’une télévision unique. Pour de nombreux jeunes journalistes, il a été une figure emblématique et un modèle de rigueur et de patriotisme puisqu’il a fait partie de cette génération d’hommes qui sans fréquenter les grandes écoles, ont pu et su, grâce à l’amour du métier et à leur talent ont contribué à relever de grands défis à laquelle était confronté l’Algérie au sortir d’une longue et douloureuse guerre de libération. En le perdant aujourd’hui, la profession et le pays perdent un pionnier de la Télévision algérienne libre et souveraine, un professionnel accompli, un homme modeste et généreux aux convictions fortes. *médias-29.05.2014
**Le journaliste Ramdane Sadmi est décédé à Montréal (Canada) à l’âge de 78 ans
Le journaliste Ramdane Sadmi est décédé samedi dernier à l’hôpital juif de Montréal (Canada) à l’âge de 78 ans, des suites d’une longue maladie, a-t-on appris lundi dernier auprès de son fils Mohand, venu à L’Expression le lendemain pour annoncer la mort de son père à ses anciens collègues dont Ahmed Fattani, Noureddine Merdaci. Natif d’Aït Frah, un certain 5 janvier 1936, dans la commune de Larbaâ Nath Irathen (wilaya de Tizi Ouzou), feu Sadmi avait embrassé le métier de journaliste dès le début des années 1960. Lauréat d’un concours, il suit des études de journalisme à Ben Aknoun (Alger) avant de bénéficier, lui et 26 autres journalistes, en 1963 à Berlin, dans l’ex-République démocratique allemande (RDA), du premier stage de formation organisé à l’étranger par l’Algérie indépendante au profit de la presse nationale. Il a travaillé par la suite à El Moudjahid (1965-1971) sous la direction de Noureddine Naït Mazi, puis à Révolution Africaine (1971-1985) avec Mme Frantz Fanon, et collaboré au journal Horizons, jusqu’à l’âge de la retraite en 1992. Rendant hommage à l’illustre écrivain Mouloud Mammeri (La colline oubliée), il écrivit un article fort en émotion qu’il intitule admirablement L’inoubliable colline. Spécialiste des questions internationales, il s’est notamment illustré par ses écrits sur les différents conflits touchant le Monde arabe. Dans une de ses compositions rendant hommage à Boudiaf, Matoub Lounès s’inspire de l’un des articles de Sadmi paru dans ce quotidien sous le titre De Abane à Boudiaf. Durant la révolution, Sadmi avait rejoint les rangs du Front de libération nationale pour défendre la cause nationale. Arrêté en 1958 par les services de sécurité français, il passe quatre ans en détention dans les geôles françaises à Fresnes (France) jusqu’en 1962. Après l’indépendance, il rejoint le Mouvement démocratique pour le renouveau algérien (Mdra) dont il a été un membre très actif. La veillée funèbre aura lieu samedi prochain, jour de l’arrivée de la dépouille mortelle, à son domicile à Dar El Beida, Alger. Il sera inhumé dimanche 4 mai au cimetière d’El Alia. Ses principaux collaborateurs de l’époque ont été Meriem Mimi, Achache M’hamed, Djender Khaled, Ayad El-Hadj, Djillali Sayeh…pour ne citer que ceux-là cités par son fils Mohand. Ramdane Sadmi était père de neuf enfants.*L’Expression-Mercredi 30 Avril 2014
**Le réalisateur algérien Benamar Bakhti décédé à l’àge de 74 ans
Le réalisateur algérien Benamar Bakhti est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à Alger des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès de la direction de l’Office national des droits d’auteur et des droits voisins (Onda).
Né en 1941 à Tlemcen , le défunt a été formé à l’Institut des hautes études cinématographiques de Paris (Idhec) avant de travailler en tant qu’assistant de télévision en France et aux côtés de cinéastes français comme Claude Lelouch et Jean-Paul Sassy.
Réalisateur de téléfilms pour la RTA (Radio et Télévision algériennes) à son retour en Algérie, il est l’auteur de longs-métrages au succès populaire comme « L’épopée du Cheikh Bouamama » (1983) et « At-taxi El Mekhfi » (Le clandestin, 1991), un film historique et une comédie dans lesquels l’acteur Athmane Airouet campait les premiers rôles. Le défunt devait être enterré jeudi après-midi au cimetière d’El Alia à Alger.*mercredi 03 mai 2015–APS
***********************************
*JEAN-LUC HEES, P-DG DE RADIO FRANCE À ALGER
«Je suis journaliste, mais je ne fais pas le même métier que ceux qui travaillent à Charlie Hebdo. C’est du grand n’importe quoi! Ils ont tout faux!»
C’est avec ces propos qu’a répondu Jean-Luc Hees, P-DG de Radio France et président de l’Union radiophonique et télévisuelle internationale (Urti), à une question sur «l’affaire Charlie Hebdo». Lors d’une conférence tenue, jeudi dernier, au niveau de la nouvelle Ecole du journalisme à Alger, M.Jean-Luc Hees s’en est pris également à la manière dont ce canard traite l’information. Le conférencier s’est exprimé également sur les relations entre l’Algérie et la France dans le domaine de la radiophonie.
Il a assuré que les deux radios publiques des deux pays se ressemblent sur pratiquement tous les plans. «Nous avons le même nom d’antenne, de radio, le même nombre de personnel et pratiquement le même budget. Nous avons connu les mêmes succès et les mêmes échecs. La seule différence est le volume de l’orchestre de musique qui est plus important en France», a-t-il expliqué.
Pour l’orateur, les deux radios partagent les mêmes soucis qui résident dans la problématique des radios locales et du réseau de couverture.
M.Hees note que «le réseau de Radio France ne couvre pas encore tout le territoire national. Ce qui est injuste vis-à-vis des citoyens qui ont le droit d’écouter Radio France du moment qu’ils paient leurs impôts». Le P-DG de Radio France n’a pas manqué de relever le contexte dans lequel intervient sa visite à Alger. En effet, une convention entre la Radio algérienne et Radio France a été signée, mardi dernier à Paris, dans le but de renforcer leur coopération bilatérale pour l’année 2011. Dans ce contexte, M. Hees dit vouloir «intensifier ce lien» avec Radio Algérie, précisant que ce que France musique et France culture ont fait à Tlemcen c’est pour le programme français. «Moi j’essaie de monter une plate-forme musicale avec tout ce que fait Radio France. Il y a beaucoup de musiques chouettes ici que je ne connaissais pas si je ne viens pas voir les gens. On ne se limite pas seulement à signer des machins», a-t-il soutenu. A souligner que la convention entre les deux radios a été signée par le P-DG de Radio France, M.Jean-Luc Hees et le DG de la Radio algérienne et président de l’Union africaine de radiodiffusion (UAR), M.Tewfik Khelladi. Elle vise le renforcement de la coopération entre Radio France et la Radio algérienne et porte sur trois domaines prioritaires. Le premier concerne l’échange d’expertises permettant aux personnels de Radio France et de la Radio algérienne d’effectuer des missions dans les deux pays dans tous les secteurs de fonctionnement et de gestion d’une radio publique. Le second porte sur la mise en place de partenariats éditoriaux (coproductions, échanges de programmes ou de concerts). Le troisième domaine a trait au développement de la coopération internationale, au sein des organisations audiovisuelles, dont Radio France et la Radio algérienne sont membres, UAR, UER (Union européenne de radio-télévision), Urti, Asbu (Arab State Broadcasting Union) et autres. La Radio algérienne développe également sa coopération à l’international, sur le plan bilatéral et multilatéral, notamment dans le cadre de l’UER, l’ASBU, l’UAR et de l’URTI,… Sur un autre plan, M.Hees dit avoir évoqué avec la partie algérienne la question de l’ouverture médiatique, tout en prônant une attitude respectueuse vis-à-vis des Algériens. «Le problème des Algériens ce sont des décisions politiques. Donc, je n’interfère jamais là-dedans», a-t-il dit. (L’Expression-12.11.2011.)
*Le « Huffington Post » en France à la mi-novembre 2011
L’affaire se discutait depuis des mois, c’est désormais signé : le Huffington Post a conclu un accord avec le journal Le Monde pour le lancement d’une version française du site américain, prévue autour du 15 novembre.
« Nous le voyons comme notre première incursion dans la zone euro », a expliqué à l’AFP Arianna Huffington, présidente et rédactrice en chef du Huffington Post Media group (désormais propriété du groupe AOL). C’est aussi la première incursion du Huff Po dans un pays francophone, après des déclinaisons anglophones lancées au Canada en mai et en Grande-Bretagne en juillet.
La version française, comme son aînée américaine, mélangera informations, divertissement, opinions et blogs. Et fusionnera (ou plutôt écrasera) avec le site participatif Le Post, dont Le Monde cherche à se débarrasser depuis des mois. Outre Le Monde, Matthieu Pigasse, l’un de ses propriétaires, fait partie des partenaires de ce lancement.
Lancé en 2005, le Huffington Post affirme attirer 37 millions de lecteurs par mois aux Etats-Unis, ce qui en ferait le premier site d’infos américain. Avec une recette : mélanger signatures prestigieuses (rémunérées) et blogueurs payés par la seule beauté de l’art. Interviewée par Le Monde, Arianna Huffington a expliqué cette étrangeté : « Plus de 20 000 blogueurs nous proposent leurs contenus. Ce n’est pas vraiment du travail, on ne les oblige pas à écrire. C’est le principe d’Internet. Les internautes qui mettent à jour Wikipédia ne sont pas payés. » (Libération-10.10.2011.)
*A la Télé, on donne rarement la parole aux jeunes
Bruce Toussaint..Présentateur d’«Un monde six jeunes», l’ancien journaliste de Canal+ débute sur France2 mardi soir…(04.10.2011.)Mardi soir à 20h35 sur France 2, celui qui anime désormais la matinale d’Europe 1 présentera «Un monde six jeunes». L’émission prend le pouls de l’actualité à travers le regard de vingtenaires envoyés en Norvège, Libye, Espagne, Colombie… En même temps, Bruce Toussaint sera derrière des écrans, aux claviers du compte @france2tv sur Twitter et de la page Facebook de France 2, afin de répondre en direct aux commentaires.-Qu’est-ce qui vous a plu dans le concept de l’émission?*Son originalité. Sauf dans la téléréalité, on donne rarement la parole aux jeunes de 20 ans. Le côté journalistique aussi: montrer que les révoltes arabes et celles des «indignés» sont liées à un malaise profond et mondial de la jeunesse.
-Qu’ont en commun ces six jeunes?
*Cette génération d’enfants de la crise, née au début des années 1990, va moins bien vivre que ses parents. Ils ont compris qu’avoir bac +6 ne suffit pas. Mais ils gardent la foi en plein de choses.
-Un reportage vous a-t-il plus touché qu’un autre?
La rencontre avec Stéphane Hessel, l’auteur d’Indignez-vous! Pour lui, l’adversaire est moins facile à déterminer que, par exemple, le nazisme à son époque: crise financière, le chômage…
-Vous arrivez sur France 2, qui traverse des turbulences…
*L’acharnement contre France 2 est assez insupportable. La mission du service public, c’est de proposer des nouveautés et des risques. Laissons du temps aux émissions.
-Et votre magazine pour 2012 sur cette même chaîne?
*C’est une deuxième partie de soirée, en quatre à huit numéros. Le thème des émissions: le pouvoir. Qui sont ceux qui décident pour nous? (20Minutes-04.10.2011.)
**Le propriétaire d’une radio privée tué par balle en Libye
Le propriétaire de Tripoli FM, une radio musicale émettant en anglais, a été tué par balle, dimanche soir, dans la capitale libyenne, pour des raisons jusqu’ici inconnues, a indiqué, hier à l’AFP, un responsable de la radio.
«Le propriétaire de la radio, Radwan Ghariani, a été tué de quatre balles, hier soir, dans le quartier de Ghot Al Roman», dans la banlieue est de Tripoli, a déclaré Rabii Dahan, directeur des programmes et cofondateur de la radio. «On ignore pour le moment les raisons de cet assassinat. Ce qui est sûr, c’est que sa mort n’était pas motivée par le vol», a-t-il ajouté, précisant que la radio a cessé d’émettre en signe de deuil. Radwan Ghariani, la quarantaine, a été retrouvé mort dans son véhicule, par une patrouille de l’armée, a ajouté M. Dahan. Selon lui, M. Ghariani, qui est le père de cinq filles, n’a pas reçu de menaces sérieuses à son encontre.
Tripoli FM a commencé à émettre le 11 novembre 2011, un mois après la chute du régime du défunt dictateur Mouammar El Gueddafi. Dominée par la musique occidentale, elle diffuse aussi des émissions de divertissement et de variétés. Durant plus de quatre décennies, sous le règne de l’ancien régime, les radios privées étaient interdites. La révolte populaire qui avait éclaté en février 2011 à Benghazi a permis dans la foulée l’émergence de dizaines de stations de radios privées, la plupart dirigées par des jeunes. Elle a laissé toutefois place à l’anarchie dans un pays où des groupes armés aux différentes idéologies et obédience font la loi.*AFP-03.12.2013
*La chaîne satellitaire Arraï : célèbre grâce à Al-Kadhafi
Yaafour, la banlieue chic de Damas: dans son parc, face à son palais kitsch de 2.400 m2, Michane al-Joubouri a érigé une bâtisse qui abrite Arraï, la chaîne arabe devenue célèbre depuis que Mouammar Kadhafi en a fait son unique porte-voix.La recette est simple: les téléspectateurs interviennent, une présentatrice anime le débat et le tout est entrecoupé d’images violentes. L’anonymat des intervenants est strictement protégé.« On peut tout dire pour ou contre les dirigeants ou les régimes arabes. Seul interdit: les insultes et les obscénités », assure l’animatrice Yara Saleh, 26 ans.« Nous sommes la seule chaîne en contact direct avec Mouammar Kadhafi et sa famille. Nos concurrents ont investi dans la technologie du show et nous dans celle de la sécurisation des communications. Grâce à notre système, (l’ancien dirigeant libyen) nous a déjà appelés six fois », explique la directrice générale, Hawazen al-Joubouri, 27 ans, l’une des onze enfants du propriétaire.
Pourquoi Kadhafi a-t-il choisi cette chaîne? « Il sait que nous sommes honnêtes et ne travestissons jamais ce qu’il dit », ajoute cette étudiante en littérature anglaise à l’université de Damas.
L’ancien dirigeant libyen a plongé dans la clandestinité avec deux de ses fils alors que le reste de sa famille a fui à l’étranger. « Je peux vous assurer qu’il est toujours au milieu de ses combattants », dit-elle d’un air convaincu.
Après avoir fui l’Irak où, selon lui, les forces américaines voulaient sa peau, Michane al-Joubouri s’est rendu en Syrie pour y fonder en 2007 Arraï (l’opinion). La chaîne est abritée dans un hangar de 250 m2, hérissé de paraboles.
Il assure avoir investi 3 millions de dollars dans les équipements et débourser annuellement 1,5 million de dollars pour les frais de fonctionnement. Comme il fonctionne sans publicité, il est obligé d’emprunter auprès des banques.
Il y a un mois, confie-t-il, un homme d’affaire syrien, envoyé par le CNT libyen, lui a proposé une belle somme pour que l’on cesse de parler de la Libye. « Que va-t-on dire aux téléspectateurs? Que nous ne sommes plus des résistants? Non merci », affirme-t-il avoir répondu.
Il se déclare contre toutes les dictatures dans le monde arabe mais refuse de se prononcer sur la Syrie, où la répression a fait selon l’ONU plus de 2.700 morts depuis mi-mars.
« Tout comme al Jazeera (chaîne satellitaire qatariote) n’évoque jamais ce qui se passe au Qatar, nous n’intervenons pas dans les affaires syriennes, même s’il y a sûrement eu des erreurs et si demander plus de démocratie est légitime. Bien sûr, la Syrie ce n’est pas la République de Platon, mais la meute internationale qui se déchaîne contre ce pays n’a pas pour ambition de soutenir la démocratie », dit-il.
Société de droit syrien, émettant sur la satellite européen Eutelsat « pour éviter les pressions des régimes arabes », cette chaîne a d’abord exaspéré Mouammar Kadhafi puis récemment le Premier ministre libyen par intérim Mahmoud Jibril.
« Comme nous défendions les révolutions égyptienne et tunisienne, Kadhafi a téléphoné furieux il y a huit mois à Bachar al-Assad pour lui demander de fermer ma chaîne sinon il la bombarderait. Quant à Jibril, il vient de déclarer que si les autorités de Damas n’interrompaient pas notre diffusion, il créerait une télévision de l’opposition syrienne ».
Mais alors pourquoi appuyer Kadhafi? « Nous sommes contre tous les dictateurs et quand les manifestations ont commencé à Benghazi nous les avons soutenues », explique cet homme d’affaires, ancien député sunnite irakien, qui fut un fidèle de Saddam Hussein avant de se retourner contre lui.
« Nous soutenons ceux qui sont contre l’occupation et aujourd’hui nous sommes derrière Kadhafi qui défend son pays contre l’Otan », jure cet homme de 54 ans qui en Irak affichait sa proximité avec les insurgés, mais était hostile au nihilisme d’al-Qaïda.(L’Expression-28.09.2011.)
*La Tribune organise un vaste programme culturel pendant le ramadhan
Bonne initiative que celle entreprise par le quotidien national La Tribune qui a préparé un riche programme d’animation culturelle pour meubler les soirées du mois de Ramadhan. Des conférences, des communications et d’autres activités sont au programme qui se déroulera entre la kheïma de solidarité installée au niveau de l’hôtel Hilton et l’intérieur du siège de la publication.
Le coup d’envoi de ces soirées sera donné ce vendredi 5 août avec la Zorna et l’artiste Abdelmadjid Meskoud. Les veillées commencent à 23 heures. Lors de chaque soirée, un ancien footballeur algérien sera honoré.
Le premier qui sera à l’honneur est Bernaoui Hamid, ancienne gloire de l’USMA.
Les enfants, notamment les orphelins et les nécessiteux auront une place de marque dans les activités ramadhanesques du journal La Tribune. Selon le directeur de la publication, Hassen Bachir-Chérif, une circoncision collective au profit de 120 enfants orphelins et nécessiteux est programmée pour le 15 Ramadhan. Des médecins bénévoles prendront en charge la circoncision de ces enfants issus de plusieurs régions du pays.Une réception grandiose leur sera offerte à l’hôtel Hilton le 26 du mois de jeûne. Des spectacles leur seront également présentés par des clowns et autres présentateurs.
Le directeur du journal n’a pas manqué de signaler que les artistes se produiront, solidarité oblige, gratuitement.
De grandes figures de la culture, des sciences et des arts ainsi que celles du sport et de la musique animeront d’importantes rencontres et présideront diverses cérémonies dans la Kheïma ou à côté, au siège du journal.
Les organisateurs des soirées ont contacté les anciennes gloires sportives de tout le pays, «conviées pour qu’elles fassent partie de ce programme dans le cadre d’une importante manifestation du souvenir et… de la reconnaissance».
Mais qu’est-ce qui motive ce quotidien à prévoir un tel programme d’activité et une kheïma de solidarité? «Tout simplement parce que la foi nous rapproche de cette recherche vers la perfection extérieure et jeûner est une remise en question beaucoup plus qu’une série d’actes de consommation… Ainsi, et pour tout dire, nous voulons balayer du revers de la main cette ambiance révolue et les pratiques surannées, qui ne peuvent jamais incarner le véritable Islam, que dis-je, le bel Islam, surtout pendant ce mois de Ramadhan, mais qui l’affublent de tant et tant de pratiques dont, franchement, il peut aisément s’en passer», explique le journal dans son édition d’hier. «S’agissant de ce mois sacré où doivent se multiplier et s’intensifier les contacts amicaux, s’améliorer les rapports fraternels et s’instaurer, dans l’entente et la détermination, la bonne ambiance culturelle et cultuelle, nous avons envisagé cette ouverture dans le cadre des relations positives, garantes d’une meilleure communion et d’un parfait équilibre au sein de notre peuple», ajoute encore le journal. Pour réussir ces activités, La Tribune convie le public, notamment les jeunes, à profiter, sans modération, de conférences et de communications magistrales qui aborderont les aspects spirituels dans la science, nos ancêtres dans leur participation effective et efficace à la civilisation arabo-islamique, l’art, la poésie et les sciences en Islam, le dialogue interreligieux ou comment partager des valeurs communes.
«Il vous convie également à savourer les meilleurs morceaux choisis de notre patrimoine classique, interprétés par des virtuoses de la musique algérienne… Il présentera enfin d’autres surprises qui marqueront ces soirées que nous souhaitons intéressantes, heureuses et surtout conviviales», ajoute le journal. (L’Expression-03.08.2011.)
**************************
Third Flower…
My spouse and i are now delighted that Albert could carry out his reports due to the thoughts he had as a result of your website. It can be on occasion perplexing to just generally be gifting away steps which some individuals might have been selling. S…
Thorn of Girls…
mothoVery good details might be observed on this website blog….
Nice article…
everyone have to visit this post…
I’ve been surfing online greater than three hours as of late, yet I by no means found any fascinating article like yours. It’s pretty value sufficient for me. Personally, if all webmasters and bloggers made good content as you did, the internet will likely be much more helpful than ever before. « Perfection of moral virtue does not wholly take away the passions, but regulates them. » by Saint Thomas Aquinas.
ugg 激安 http://herrlicht.de/wp-includes/img/uggdiscount.html